Changer soi-même pour changer le monde

Ma vie s’inscrit dans deux sphères : mon petit monde intérieur et le grand monde extérieur, les deux étant étroitement liés (voire même, les deux étant les deux facettes d’une même réalité…). Si mes avancées et progrès personnels impactent le Tout, j’ai donc doublement intérêt à être le plus en harmonie possible. Un beau programme, mais sacrément ambitieux…

Je suis en bad mood ? Tout mon environnement s’assombrit, devient gris, morose. Rien ne va plus, ni le travail, ni les amis, ni le chéri. Je suis en prise avec cette pelote de pensées négatives et mes émotions délétères : colère, rancœur, tristesse, frustration… Je vais bien ? Le ciel s’illumine à nouveau : la nature est belle, je me réjouis du chant des martinets qui sifflent devant ma fenêtre en faisant des loopings vertigineux, je passe des moments joyeux avec mes proches.

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# Pensée 16 : Ouverture

Post-déconfinement. Je retrouve la nature, le ciel bleu, le soleil, les villages, les paysages… Mais est-ce uniquement cela, la liberté ? Se mouvoir à sa guise et arpenter son environnement de gauche et de droite ?


J’ai trouvé une grande liberté à être enfermée deux mois dans un appartement : une plage immense, un espace ouvert aux possibles, une page blanche à écrire tous les matins.
Pas de train à prendre ni de bus à rater ; pas de RV qui s’éternisent ou cafouillent ; pas de visites de courtoisie ou de repas festifs qui noient les amis au milieu d’un parterre (non) choisi ; pas de réunions sans fin ni loi ; pas d’agenda à googéliser pour faire rentrer au cordon les multiples diversions de la vie.


Le temps qui s’étire, et la vie intérieure qui s’épanouit.
Ce sont des moments bénis, auxquels nous étions un certain nombre à aspirer. Une pause bienvenue, un arrêt impromptu pour rester à quai et se mettre à rêver…
De demain…